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Yedd-ad di 11 Tuber 2013
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'''Nelson Rolihlahla Mandela''' (prononcé en [[xhosa (langue)|xhosa]] {{MSAPI|x|o|ˈ|l|i|ː|ɬ|a|ɬ|a| m|a|n|ˈ|d|e|ː|l|a}}), dont le nom du clan tribal est '''« Madiba »''', né le {{
Nelson Mandela entre au ''[[Congrès national africain]]'' (ANC) en [[1944]], afin de lutter contre la domination politique de la [[Blancs sud-africains|minorité blanche]] et la [[ségrégation raciale]] menée par celle-ci. Devenu [[avocat (métier)|avocat]], il participe à la lutte non violente contre les lois de l'apartheid, mises en place par le gouvernement du [[Parti national (Afrique du Sud)|Parti national]] à partir de [[élections en Afrique du Sud (1910-1994)|1948]]. L'ANC est interdit en [[1960]], et la lutte pacifique ne donnant pas de résultats tangibles, Mandela fonde et dirige la branche militaire de l'ANC, ''[[Umkhonto we Sizwe]]'', en [[1961]], qui mène une campagne de [[sabotage]] contre des installations publiques et militaires. Le {{
Après vingt-sept années d'emprisonnement dans des conditions souvent très dures, Mandela est relâché le {{
Après une transition difficile où de Klerk et lui évitent une guerre civile entre les partisans de l'apartheid, ceux de l'ANC et ceux de l'[[Parti Inkatha de la liberté|Inkhata]] à dominante [[zoulou]], Nelson Mandela devient le premier président noir d'[[Afrique du Sud]] en [[1994]]. Il mène une politique de réconciliation nationale entre Noirs et Blancs ; il lutte contre les inégalités économiques, mais néglige le combat contre le [[Syndrome d'immunodéficience acquise|sida]], en pleine expansion en Afrique du Sud. Après un unique mandat, il se retire de la vie politique active, mais continue à soutenir publiquement le Congrès national africain tout en condamnant ses dérives.
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